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Press Release
L'ONUSIDA nomme Victoria Beckham Ambassadrice itinérante
25 septembre 2014 25 septembre 2014GENÈVE/NEW YORK, 25 septembre 2014 — Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) a nommé la prestigieuse créatrice de mode Victoria Beckham Ambassadrice itinérante de l'ONUSIDA. L'annonce de cette désignation a été faite au cours d'un évènement spécial qui s'est tenu à l'occasion de la 69ème Assemblée générale des Nations Unies à New York.
«Je rêve d'une génération sans VIH et je suis persuadé que Victoria Beckham va nous aider à atteindre cet objectif commun». a annoncé Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA. «Sa créativité, son sens de l'innovation et son rayonnement vont amplifier nos efforts et nous permettre de faire un pas supplémentaire de plus pour mettre fin à l'épidémie de sida».
Dans son rôle d'Ambassadrice itinérante de l'ONUSIDA, Mme Beckham va œuvrer pour que plus aucun enfant ne naisse avec le VIH et pour que les enfants et les femmes vivant avec et touchées par le VIH puissent avoir accès aux traitements et aux soins.
«C'est pour moi le début d'un important parcours. En tant que femme et mère j'ai le devoir de soutenir d'autres femmes», a déclaré Mme Beckham. «Je suis fière et honorée de servir l'ONUSIDA dans ce nouveau rôle afin d'aider à mobiliser des ressources, sensibiliser et émanciper les femmes et les enfants touchés par le VIH».
En février de cette année, Mme Beckham a visité des cliniques au Cap, en Afrique du Sud, où elle a pu se rendre compte de l'importance de la thérapie antirétrovirale et constater que des enfants étaient laissés de côté dans l'accès au traitement.
L'administration d'une thérapie permet de réduire à moins de 5% le risque de transmission du VIH de la mère à l'enfant. Malgré cela, en 2013 un tiers des femmes enceintes vivant avec le VIH n'ont pu avoir accès à des traitements salvateurs et 240 000 enfants ont été infectés par le virus.
Au cours de cette même année, moins de la moitié des enfants exposés au VIH ont été dépistés dans le délai optimal de trois mois et seulement 24% d'entre aux ont eu accès à un traitement salvateur. Sans traitement, la moitié des enfants nés avec le VIH meurent avant l'âge de deux ans et la majorité avant l'âge de cinq ans.
Au cours des cinq dernières années, la fourniture de médicaments antirétroviraux aux femmes enceintes vivant avec le VIH a permis la naissance de 900 000 enfants non contaminés par le virus. L'ONUSIDA travaille avec ses partenaires pour garantir que tous les enfants, d'où qu'ils viennent, naissent sans le VIH, puissent avoir accès aux médicaments, aux soins et à l'appui dont ils ont besoin.
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ONUSIDA GenèveSophie Barton-Knott
tel. +41 79 514 6896 / +41 22 791 1697
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Mettre à jour
Victoria Beckham, Ambassadrice itinérante internationale de l'ONUSIDA, s'adresse aux jeunes femmes et aux filles
15 octobre 2014
15 octobre 2014 15 octobre 2014Lors d'une mission d'étude en Afrique du Sud avec l'Elton John AIDS Foundation, l'Ambassadrice itinérante internationale de l'ONUSIDA Victoria Beckham a exprimé son engagement en faveur de la sensibilisation à la vulnérabilité des femmes et des filles au VIH.
Mme Beckham a rencontré Sheila Tlou, Directrice de l'équipe de l'ONUSIDA d'appui aux régions pour l'Afrique orientale et australe, qui l'a informée de la situation de l'épidémie de VIH dans la région et de l'appui de l'ONUSIDA aux ripostes nationales au sida. La conversation a porté sur les différents facteurs qui favorisent l'infection à VIH chez les femmes, notamment les actes de violence, le mariage forcé des enfants, les rapports sexuels intergénérationnels, les violations des droits humains et les pratiques traditionnelles en Afrique australe et orientale.
Mme Beckham a déclaré que ses visites sur les sites du projet mothers2mothers et à la clinique Ramokgopa, ainsi que ses échanges étroits avec des femmes et des filles à Soweto, l'ont aidée à élargir sa compréhension des différents problèmes qui touchent les communautés en Afrique du Sud.
Quotes
« Le meilleur moyen d'éliminer la transmission du VIH de la mère à l'enfant est d'abord d'éviter que les femmes soient infectées. Victoria Beckham peut nous aider à atteindre des millions de jeunes femmes avec des messages de prévention ; elle leur prête sa voix pour faire connaître leurs besoins au monde entier. »
« Mes entretiens avec des jeunes femmes à Soweto m'ont ouvert les yeux. Ils m'ont donné une occasion exceptionnelle de mieux comprendre les nombreux défis auxquels font face ces merveilleuses jeunes femmes et mères. Elles m'ont bouleversée avec leurs histoires et je veux apporter mon aide par tous les moyens dont je dispose pour leur inspirer le changement. »
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Génération sans VIH : un objectif réalisable en Russie
13 octobre 2014
13 octobre 2014 13 octobre 2014Des experts médicaux et scientifiques réunis à l'occasion de la récente conférence internationale Enfance et VIH : problèmes et perspectives, organisée à Saint-Pétersbourg en Russie, se sont engagés pour l'élimination de la transmission du VIH de la mère à l'enfant en Fédération de Russie d'ici fin 2015, première étape vers une génération sans VIH dans le pays.
Plus de 400 spécialistes venus de toute la Russie, des professionnels de santé de 18 pays et des représentants d'organisations et d'instituts de recherche internationaux, notamment l'ONUSIDA, l'UNICEF, l'OMS et le Réseau pédiatrique européen pour le traitement du sida, ont abordé des thèmes tels que l'amélioration des soins médicaux pour les femmes enceintes et les enfants, le dépistage précoce du VIH et le traitement des co-infections, ainsi que l'appui social aux enfants vivant avec le VIH et leurs familles.
Parmi les principales recommandations énoncées lors de ce forum pour atteindre l'objectif de zéro nouveau cas de transmission du VIH de la mère à l'enfant figuraient la promotion et la mise en œuvre de protocoles et de normes cliniques modernes et le renforcement de la coopération internationale pour mieux répondre aux besoins des mères et des enfants.
Quotes
« Tous les éléments nécessaires sont en place en Russie pour veiller à ce que plus aucun enfant ne naisse avec le VIH et que leurs mères restent en vie. Les ressources humaines et financières sont disponibles, les services de santé pour les femmes et les enfants sont quasi universels dans le pays, les partenariats sont solides et des programmes innovants existent. Je suis certain que la Russie fera de l'objectif d'une génération sans sida une réalité. »
« La Russie a déjà obtenu des succès importants dans la prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant. Davantage d'efforts sont nécessaires, mais nous pouvons atteindre zéro infection chez les enfants dans un futur proche. »
« Les femmes vivant avec le VIH en Russie peuvent et devraient avoir des enfants en bonne santé, nés sans le VIH. Il existe aujourd'hui des méthodes de prévention efficaces et tous les moyens possibles pour garantir que toutes les femmes ont accès aux services qui leur sauvent la vie. »
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Les premières dames africaines renouvellent leur engagement en faveur de la riposte au sida à l'échelle du continent
23 septembre 2014
23 septembre 2014 23 septembre 2014L'Organisation des Premières dames d'Afrique contre le VIH/sida (OPDAS) s'est réunie récemment à New York pour discuter de manière dont elle pourrait élargir son action en faveur de l'épidémie de sida en Afrique.
Les premières dames se sont rencontrées à la Fondation Ford à New York en marge de la 69e session de l'Assemblée générale des Nations Unies, où elles ont débattu des solutions efficaces pour maintenir un engagement de haut niveau en faveur de la fin de l'épidémie de sida.
Les premières dames ont souligné la nécessité de services de santé complets de maternité et de néonatalité, qui intègrent le dépistage du VIH pour les femmes enceintes et fournissent un accès aux médicaments antirétroviraux pendant la grossesse, lors de l'accouchement et tout au long de la période d'allaitement.
L'OPDAS a récemment présenté un nouveau plan stratégique qui met en avant le besoin urgent d'intégrer les services anti-VIH aux services existants de santé sexuelle et reproductive. Les premières dames ont admis que les objectifs en lien avec l'arrêt des nouvelles infections à VIH chez les enfants ne pourraient pas être atteints si le contexte plus large de la prévention des nouvelles infections à VIH chez les femmes et les filles n'était pas traité.
L'OPDAS a été créée en 2002 pour servir de porte-parole en appui aux personnes vivant avec le VIH et touchées par le virus. Ces douze dernières années, les premières dames se sont engagées dans des campagnes et des initiatives de sensibilisation dans leurs pays respectifs.
Quotes
« Nous devons intensifier notre collaboration avec l'ONUSIDA au niveau mondial, régional et national pour mobiliser nos communautés et mettre fin à l'épidémie de sida sur notre continent. »
« Nous travaillons avec l'ONUSIDA depuis plus de dix ans, notre partenariat est maintenant parvenu à maturité et prend forme. Notre priorité absolue doit être axée sur les 19 millions de personnes qui ne connaissent pas leur état sérologique. Tous les succès que nous avons obtenus seront vains si nous ne résolvons pas ce problème. »
« Sur tout le continent, des femmes n'ont toujours pas le pouvoir de prendre des décisions personnelles que bon nombre d'entre nous considèrent comme allant de soi. Nous devons nous assurer qu'elles ont la capacité de décider d'avoir des enfants et le droit de déterminer leur avenir. Je ne voudrais certainement pas que ma fille ait la même vie que ma grand-mère en ce qui concerne l'émancipation des femmes. »
« L'ONUSIDA a lancé la campagne 90-90-90 pour appuyer les efforts des pays en faveur de la fin de l'épidémie de sida en tant que menace pour la santé publique d'ici 2030. Pour atteindre cet objectif, nous devons poursuivre notre alliance stratégique avec l'OPDAS et nous assurer que toutes les personnes, en particulier les femmes, connaissent leur état sérologique vis-à-vis du VIH et sont capables de se protéger elles-mêmes aussi bien que leurs familles. »

Press Statement
Plus de 850 000 nourrissons ont été sauvés du VIH depuis 2005, mais on constate des tendances inquiétantes chez les adolescents
29 novembre 2013 29 novembre 2013Un rapport de l’UNICEF montre qu’il est possible de faire baisser de moitié les nouvelles infections chez les adolescents si l’on augmente les investissements et qu’on les cible mieux
NEW YORK, le 29 novembre 2013—Un nouveau rapport publié aujourd’hui par l’UNICEF montre les progrès considérables qui ont été réalisés pour prévenir la transmission du VIH de la mère à l’enfant : plus de 850 000 nouvelles infections ont été évitées chez des nouveau-nés entre 2005 et 2012 dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
Cependant, le nouveau rapport 2013 « Enfants et SIDA – Un bilan de la situation » tire la sonnette d’alarme en ce qui concerne les adolescents et affirme qu’il est nécessaire de redoubler d’efforts, aux niveaux national et international, pour lutter contre le VIH et le SIDA dans ce groupe d’âge vulnérable.
Les décès liés au SIDA chez les adolescents de 10 à 19 ans sont passés de 71 000 en 2005 à 110 000 en 2012, une augmentation de 50 pour cent qui contraste fortement avec les progrès accomplis pour prévenir la transmission du virus de la mère à l’enfant. Environ 2,1 millions d’adolescents vivaient avec le VIH en 2012.
Or, avec des fonds supplémentaires et davantage d’investissements dans l’innovation, on pourrait surmonter beaucoup d’obstacles, estime le rapport.
Selon une nouvelle analyse figurant dans le rapport, si l’on investit davantage dans les interventions à impact fort pour arriver à 5,5 milliards de dollars d’ici 2014, deux millions d’adolescents, et surtout d’adolescentes, pourraient éviter l’infection d’ici 2020. En 2010, les investissements s’élevaient à 3,8 milliards de dollars.
« Si l’on transpose à plus grande échelle les interventions à fort impact dotés d’une approche intégrée, nous pouvons faire diminuer de moitié le nombre de nouvelles infections chez les adolescents d’ici 2020, a déclaré M. Anthony Lake, Directeur général de l’UNICEF. Il importe de toucher de toute urgence les adolescents les plus vulnérables par le biais de programmes efficaces. »
Par interventions à fort impact, on entend entre autres les préservatifs, les traitements antirétroviraux, la prévention de la transmission du virus de la mère à l’enfant, la circoncision masculine médicalisée volontaire, les programmes de communication pour modifier les comportements, ainsi que des approches ciblées pour les populations à risque ou marginalisées. Ceci vient s’ajouter aux investissements à faire dans d’autres secteurs comme l’éducation, la protection et l’assistance sociales et le renforcement des systèmes de santé.
Contrairement à ce qui se passe chez les adolescents, on a fait des progrès impressionnants en matière de prévention des nouvelles infections au VIH chez les nouveau-nés. Quelque 260 000 enfants ont été infectés par le VIH en 2012, alors qu’ils étaient 540 000 en 2005.
« Le rapport nous rappelle qu’une génération affranchie du SIDA, c’est une génération où aucun enfant ne contracte le virus, que ce soit à la naissance ou tout au long de sa vie. Cela veut dire aussi que tout enfant vivant avec le VIH doit avoir accès à un traitement, a déclaré M. Michel Sidibé, Directeur général d’ONUSIDA. Il nous rappelle aussi que la santé et le bien-être des femmes doivent être au cœur des interventions contre le SIDA. Je ne doute pas que nous atteindrons ces objectifs. »
Grâce à un nouveau traitement antirétroviral simplifié à prendre à vie (appelé Option B+), il devient plus facile de soigner efficacement les femmes vivant avec le VIH et d’empêcher qu’elles ne transmettent le virus à leurs bébés au cours de la grossesse de l’accouchement ou de l’allaitement. Le traitement consiste en une prise quotidienne d’un seul cachet.
« À l’heure actuelle, si une femme enceinte vit avec le VIH, cela ne veut pas dire que son bébé doit subir le même sort ni qu’elle ne peut pas mener une vie saine », a dit M. Lake.
Ce sont des pays d’Afrique subsaharienne à forte prévalence d’infections au VIH qui ont connu les succès les plus remarquables. De 2009 à 2012, les nouvelles infections chez les nouveau-nés ont baissé de 76 pour cent au Ghana, 58 pour cent en Namibie, 55 pour cent au Zimbabwe, 52 pour cent au Malawi et au Botswana, et 50 pour cent en Zambie et en Éthiopie.
Le nouveau rapport insiste aussi sur le fait que pour arriver à une génération sans SIDA, un nombre plus important d’enfants vivant avec le VIH devront recevoir un traitement antirétroviral. Seuls 34 pour cent des jeunes vivant avec le VIH dans les pays à revenu faible ou intermédiaire ont reçu le traitement dont ils avaient besoin en 2012, contre 64 pour cent des adultes. C’est pourquoi quelque 210 000 enfants sont décédés de maladies liées au SIDA cette année-là.
Des innovations et de nouvelles façons de travailler rendent le dépistage et le traitement plus accessibles, plus économiques et plus efficaces. On peut citer par exemple l’utilisation des téléphones mobiles en Zambie et au Malawi pour recevoir rapidement les résultats d’un test de dépistage du VIH. Cela a permis à des mères de recevoir le diagnostic de leur bébé bien plus rapidement que si les résultats avaient été livrés à la main.
Le défi, à présent, c’est de tirer parti des connaissances actuelles, de continuer à se concentrer sur les enfants et adolescents les plus vulnérables et marginalisés et de chercher de nouvelles possibilités et innovations, tout cela avec des ressources limitées à utiliser avec le plus d’efficacité possible.
« Nous avons maintenant l’expérience et les outils nécessaires pour arriver à une génération sans SIDA, a affirmé M. Lake. Les enfants devraient être les premiers à bénéficier de nos réussites dans la lutte contre le VIH et les derniers à souffrir de nos échecs. »
Le rapport sera disponible à l’adresse suivante : www.childrenandaids.org
À l’attention des organismes de l’audio-visuel : on trouvera des reportages vidéo et des images non montées en provenance du Botswana, de Côte d’Ivoire et du Malawi à l’adresse suivante : http://weshare.unicef.org/mediaresources
Note aux rédactions :
- À propos du traitement antirétroviral à vie simplifié (Option B+) :
L’UNICEF appuie les pays qui font la transition vers la nouvelle thérapie antirétrovirale à vie simplifiée (Option B+) pour toutes les femmes enceintes vivant avec le VIH. Ce nouveau traitement consiste en une seule pilule par jour (contre six par jour pour le traitement précédent). Il peut être fourni au niveau communautaire, dans des établissements de soins locaux. Il garde les mères en meilleure santé, car elles continuent à le suivre même après avoir donné naissance, pendant l’allaitement et après. Le Malawi a fait œuvre de pionnier en offrant l’Option B+ dès 2011, ce qui a permis un élargissement massif de la couverture de soins tant pour les femmes enceintes que pour les mères allaitantes vivant avec le VIH. En juin 2013, 13 des 22 pays prioritaires du Plan mondial avaient adopté la même politique et offraient un traitement à vie.
- Les bilans de la situation :
Les rapports « Enfants et SIDA – Un bilan de la situation » sont les publications-phares de la campagne Unissons-nous pour les enfants, contre le SIDA. L’UNICEF en dirige la production, dans le cadre de son engagement au sein du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA (ONUSIDA), en collaboration avec ONUSIDA et ses dix autres co-parrains. Le nouveau rapport « Enfants et SIDA – Un bilan de la situation » est le premier du genre depuis 2010.
À propos d’ONUSIDA
Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) guide et mobilise la communauté internationale en vue de concrétiser sa vision commune : « Zéro nouvelle infection à VIH. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida. » L’ONUSIDA conjugue les efforts de 11 institutions des Nations Unies – le HCR, l’UNICEF, le PAM, le PNUD, l’UNFPA, l’UNODC, ONU Femmes, l’OIT, l’UNESCO, l’OMS et la Banque mondiale. Il collabore étroitement avec des partenaires mondiaux et nationaux pour que la riposte au sida donne les meilleurs résultats possibles. Pour en savoir plus, consultez le site unaids.org, et suivez nous sur Facebook et Twitter.
À propos de l’UNICEF
L’UNICEF promeut les droits et le bien-être de chaque enfant, dans tout ce que nous faisons. Nous travaillons dans 190 pays et territoires du monde entier avec nos partenaires pour faire de cet engagement une réalité, avec un effort particulier pour atteindre les enfants les plus vulnérables et marginalisés, dans l’intérêt de tous les enfants, où qu’ils soient.
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Pour de plus amples informations, veuillez contacter:
UNICEF Média | Rita Ann Wallace | tél. +1 212 326 7586 | Mobile : 1 917-213-4034 | rwallace@unicef.org
Communications stratégiques UNICEF | Iman Morooka | tél. +1 212 326 7211 | imorooka@unicef.org
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